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Conférence
Une « papote » pour confronter ses idées sur « la vision de l’existence »
JHM 15 octobre 2024 à 13h58
Parmi plusieurs rendez-vous, le sophrologue Patrick Belin propose une fois par mois une « papote » à Bourbonne-les-Bains. Pour confronter son point-de-vue avec d’autres sur des thèmes ayant trait à « la vision de l’existence ».
Pas banal, ce volet du programme de rendez-vous que le sophrologue Patrick Belin propose à l’espace Papillon bleu à Bourbonne-les-Bains. Pas banal… et pourtant. Si bavarder avec autrui semble a priori plutôt naturel, de quoi se parle-t-on en se croisant dans la rue au quotidien, quand on ne se connaît pas plus que ça ? Du temps qu’il a fait, de celui qu’il fait… et de la météo que les prévisionnistes nous annoncent. Patrick a estimé que nous étions quelques-uns à espérer nous entretenir de sujets plus denses, à y « réfléchir », et, de fait, pas nécessairement avec son entourage proche. « L’idée (de ces « papotes »), c’est de donner la possibilité à chacun d’élaborer son point-de-vue sur (un thème ayant trait à) la vision de l’existence ». Par la même occasion, le sophrologue voit l’opportunité de « s’ouvrir à un autre point-de-vue (que le sien) ». Et, éventuellement, d’apprendre à réviser sa position initiale.
Des trentenaires aux septuagénaires
« L’existence est compliquée ». En clair, elle en soulève, des sujets de discussion, résume Patrick Belin. Les « papotes » sont destinées à apprendre à « écouter », à « reprendre du discernement et de la réflexion ». Il a initié ces séances de « papotage » en juin dernier. À ses yeux de réflexologue, pour « mieux prendre soin de soi », il faut à la fois veiller à la tête et au corps. Il a finalement arrêté qu’elles se tiendraient à un rythme mensuel. « À ce jour, ceux qui sont venus sont aussi bien des trentenaires que des septuagénaires ». Le groupe qui se forme le temps d’une « papote » – soit 1 h 30 – n’excède pas 15 personnes, ce sont des hommes comme des femmes. Qui, c’est selon, viennent seuls ou accompagnés d’un ami.
« Pour y voir plus clair »
« On s’aperçoit qu’il y a une séparation de plus en plus évidente entre les gens qui sombrent dans le laisser-aller et ceux qui, ayant conscience de vivre une évolution des idées, n’y voient plus très clair, et aspirent à retrouver leurs valeurs et à les adapter ». Patrick indique qu’après ces premières séances de « papotes », les participants se disent « contents de pouvoir enfin discuter ». Il prend l’exemple des « HPI (hauts potentiels intellectuels) » et des « HPE (hauts potentiels émotionnels » dont, par ailleurs, il « (s)’occupe beaucoup ». Son sentiment est que ces personnes sont « un peu démunies, spécialement en zone rurale ». Ce sont celles-ci qui l’ont amené à faire tourner la prochaine « papote » autour de « l’hypersensibilité » en intitulant le thème de la séance de jeudi 24 octobre « comment en faire une force ».
Fabienne Ausserre
f.ausserre@jhm.fr
Pratique : « Papote » sur le thème de « Comment faire une force de son hypersensibilité », espace Papillon bleu 59 Grande rue Bourbonne-les-Bains. Contact : 06.46.46.70.79 et info@etre-libre.fr
JHM 15 octobre 2024 à 13h58
Parmi plusieurs rendez-vous, le sophrologue Patrick Belin propose une fois par mois une « papote » à Bourbonne-les-Bains. Pour confronter son point-de-vue avec d’autres sur des thèmes ayant trait à « la vision de l’existence ».
Pas banal, ce volet du programme de rendez-vous que le sophrologue Patrick Belin propose à l’espace Papillon bleu à Bourbonne-les-Bains. Pas banal… et pourtant. Si bavarder avec autrui semble a priori plutôt naturel, de quoi se parle-t-on en se croisant dans la rue au quotidien, quand on ne se connaît pas plus que ça ? Du temps qu’il a fait, de celui qu’il fait… et de la météo que les prévisionnistes nous annoncent. Patrick a estimé que nous étions quelques-uns à espérer nous entretenir de sujets plus denses, à y « réfléchir », et, de fait, pas nécessairement avec son entourage proche. « L’idée (de ces « papotes »), c’est de donner la possibilité à chacun d’élaborer son point-de-vue sur (un thème ayant trait à) la vision de l’existence ». Par la même occasion, le sophrologue voit l’opportunité de « s’ouvrir à un autre point-de-vue (que le sien) ». Et, éventuellement, d’apprendre à réviser sa position initiale.
Des trentenaires aux septuagénaires
« L’existence est compliquée ». En clair, elle en soulève, des sujets de discussion, résume Patrick Belin. Les « papotes » sont destinées à apprendre à « écouter », à « reprendre du discernement et de la réflexion ». Il a initié ces séances de « papotage » en juin dernier. À ses yeux de réflexologue, pour « mieux prendre soin de soi », il faut à la fois veiller à la tête et au corps. Il a finalement arrêté qu’elles se tiendraient à un rythme mensuel. « À ce jour, ceux qui sont venus sont aussi bien des trentenaires que des septuagénaires ». Le groupe qui se forme le temps d’une « papote » – soit 1 h 30 – n’excède pas 15 personnes, ce sont des hommes comme des femmes. Qui, c’est selon, viennent seuls ou accompagnés d’un ami.
« Pour y voir plus clair »
« On s’aperçoit qu’il y a une séparation de plus en plus évidente entre les gens qui sombrent dans le laisser-aller et ceux qui, ayant conscience de vivre une évolution des idées, n’y voient plus très clair, et aspirent à retrouver leurs valeurs et à les adapter ». Patrick indique qu’après ces premières séances de « papotes », les participants se disent « contents de pouvoir enfin discuter ». Il prend l’exemple des « HPI (hauts potentiels intellectuels) » et des « HPE (hauts potentiels émotionnels » dont, par ailleurs, il « (s)’occupe beaucoup ». Son sentiment est que ces personnes sont « un peu démunies, spécialement en zone rurale ». Ce sont celles-ci qui l’ont amené à faire tourner la prochaine « papote » autour de « l’hypersensibilité » en intitulant le thème de la séance de jeudi 24 octobre « comment en faire une force ».
Fabienne Ausserre
f.ausserre@jhm.fr
Pratique : « Papote » sur le thème de « Comment faire une force de son hypersensibilité », espace Papillon bleu 59 Grande rue Bourbonne-les-Bains. Contact : 06.46.46.70.79 et info@etre-libre.fr